Ce n'est plus du tout la Corvette que l'on connaissait, mais ça n'empêche pas la C8 d'être une bien meilleure voiture ET de garder un caractère bien à elle. Même si ça manque de décibels.
À bord
Si vous êtes derrière le volant, vous êtes traité comme un roi. Ou un pilote de chasse, plutôt, une impression à laquelle n’est pas étrangère l’énorme rampe de boutons le long de la console centrale. La forme étrange du volant semble évidente une fois qu’on est installé. Le méplat du haut encadre l’instrumentation plutôt que de la masquer, celui du bas libère de la place pour les genoux.
La qualité perçue a fait un bond colossal par rapport à la C7. Les sièges (GT2 ou Competition, nous n’avons pas essayé les modèles standard) valent bien ceux de n’importe quelle supercar de grande race, et il y a tout un tas de gadgets appréciables comme un système de relevage hydraulique du train avant à mémoire GPS programmable.
Tout n’est pas aussi rose depuis le siège de droite. Vue de ce côté, la console centrale est un véritable mur. Et en l’absence de poignée de maintien, le passager aura tendance à s’y cramponner, au risque de dérégler les commandes de la clim. Donc si vous sentez une bouffée de chaleur après un petit décrassage en duo, ne vous inquiétez, c’est sûrement ça.
Les deux coffres sont étonnamment accueillants. Même si l’on perd celui de l’arrière si on y range le toit amovible, l’espace reste généreux pour une voiture de sport.
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