À bord

D’une 911 à l’autre, les fondamentaux restent les mêmes : la position de conduite, les sièges, le poids des commandes. C’est une voiture dans laquelle on se sent tout de suite à la maison, avec laquelle on sait qu’on va pouvoir travailler sérieusement. Rares sont les pistardes de ce calibre à la fois si peu intimidantes et si viscérales.

Le cockpit est celui d’une 992 standard, agrémenté d’un nouveau mode Track Screen (affichant juste le compte-tours central). Une molette permet de jongler entre les modes châssis (incluant Sport et Track). Il y a aussi des boutons physiques pour désactiver les aides, ce qui évite de se perdre dans les menus à chaque fois. Le sélecteur de la boîte PDK évoque un pommeau de boîte mécanique, mais il vaudra mieux utiliser les palettes.

Tout n’est cependant pas parfait. La qualité perçue de certains éléments est très perfectible, et j’ai toujours du mal avec le machin rotatif qui singe une clé de contact. Un simple bouton Start aurait suffi.

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