Ferrari F8 Spider

Le V8 biturbo Ferrari est encore plus fabuleux à ciel ouvert. Et la supercar livrée avec n'est pas mal non plus...

Ollie MARRIAGE • Niels de GEYER
Publié le : 2 juillet 2020

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La Ferrari F8 Spider est peut-être une 488 Spider liftée, mais elle n'en reste pas moins une supercar époustouflante.

À bord

La principale nouvelle à bord est peut-être que votre passager peut désormais savoir exactement à quelle vitesse vous roulez. Et combien de G vous lui faites encaisser, aussi. Ces informations n’étant pas faciles à entrapercevoir sur l’instrumentation, à vous de voir si l’écran passager vaut ses 3 240 €.

Côté conducteur, c’est comme toujours le compte-tours central qui tient la vedette, avec un indicateur numérique du rapport engagé. Simple, efficace, et rafraîchissant par rapport à d’autres supercars où l’on croule sous les informations plus ou moins utiles. Tout reste accessible via les écrans de chaque côté si vous le souhaitez malgré tout. L’ergonomie paraît un peu primitive face aux écrans tactiles et aux molettes de navigation de la concurrence, mais la SF90 et la Roma se chargeront bientôt de donner un coup de jeune à l’interface Ferrari.

Tout cela est visible à travers un volant qui a légèrement rétréci. On y trouve toujours l’essentiel des commandes, avec une ergonomie parfois biscornue. Le régulateur est à gauche, actionné par un bouton poussoir. Inhabituel, et étrange. Vous êtes mélomane ? Dommage, la hi-fi JBL à 4 440 € est assez médiocre.

Comme mentionné précédemment, le toit peut être replié ou déployé en roulant, ce qui est bien pratique. Il se loge dans un un compartiment extrêmement compact entre le cockpit et la baie moteur. Le coffre à l’avant est quant à lui étonnamment vaste, et ses 200 l tout à fait exploitables. Globalement, la qualité des matériaux et des assemblages est très impressionnante, ce qui ne surprend désormais plus chez Ferrari.

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