Neuf choses apprises au volant de la nouvelle BMW Série 1 traction

Plus spacieuse, plus sûre, pas de L6 mais peut-être une hybride : le débrief de notre essai

Stephen DOBIE • Niels de GEYER
Publié le : 27 mars 2019

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4. En réalité, les ingénieurs sont ravis du passage à la traction

« Si vous me demandez maintenant ‘auriez-vous préféré que la Série 1 reste une propulsion ?, la réponse est non, explique Langen. Notre but est de progresser en agrément de conduite à chaque génération, et il me semble que celle-ci est une meilleure voiture que sa devancière, indépendamment de tout débat sur l’essieu auquel la puissance devrait être transmise. »

« Pour ‘benchmarker’ notre voiture, nous n’avons pas pris pour références d’autres compactes [mais bien sûr, NDLR]. D’autant qu’au sein des tractions, on ne peut pas vraiment la comparer à des autos moins chères. Nous tablons sur un potentiel supérieur grâce à notre système de contrôle du sous-virage, une exclusivité BMW. »

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