Oyez, oyez, Renault annonce aujourd’hui l’arrivée d’un « nouveau SUV compact et familial du segment C », qui sera révélé au printemps 2024. Ne zappez pas et essayez de ne pas piquer du nez au fond de la classe, s’il vous plaît.

On ne sait pas encore à quoi il ressemblera – on a une petite idée quand même – mais on sait qu’il s’appellera Symbioz. Si ce nom vous dit quelque chose, c’est parce que la marque l’avait étrenné en 2017 sur un concept de break de chasse électrique et autonome (c’était la mode à l’époque).

Bien que sept ans aient passé, le Renault Symbioz de série ne sera ni l’un, ni l’autre. Il fera appel à une motorisation hybride de 145 ch, a priori celle des Clio et Captur E-Tech dont il devrait reprendre la plate-forme. Avec 4,41 m de long, il viendra s’intercaler entre ce dernier (4,23 m) et l’Austral (4,51 m).

En pratique, le Symbioz sera surtout le pendant thermique du séduisant Scénic, exclusivement électrique depuis qu’il a mué en SUV. Et le remplaçant de la Mégane IV (thermique et hybride), qui s’apprête à nous dire adieu en ayant elle aussi légué son nom à un modèle 100 % électrique.

Pour maximiser la luminosité en même temps que la garde au toit, Renault promet un toit panoramique dont la technologie auto-opacifiante lui permettra de se passer de velum. La marque annonce « une habitabilité généreuse et un grand volume de chargement », ainsi qu’une masse inférieure à 1,5 t qui en fera un véhicule Hidalgo-compatible. Et qui ne devrait pas l’empêcher de devenir très vite un poids lourd du marché…

Rendez-vous dans quelques semaines pour tout savoir sur ce Renault Symbioz.