Passons à la BMW, alors.

C’est là qu’on apprécie les deux niveaux de transmission intégrale de la M5 et son mode bonus propulsion, en particulier le réglage intermédiaire. La palette d’expériences de conduite proposées par la BMW semble déjà mieux justifier son prix faramineux.

On ne va pas débattre ici sur la possibilité d’exploiter ses performances sur la route, mais retenez que c’est sans nul doute la M5 la plus gratifiante depuis des années. Il aura donc fallu 60 000 € et un traitement CS pour que la bavaroise puisse à nouveau caresser l’espoir de surpasser la brillante Mercedes-AMG E63. C’est peut-être aussi le signe qu’il va falloir songer à passer le relais à une nouvelle génération. Qui risque d’être encore plus lourde en cas d’hybridation.